Voici le Geai des chênes, avec ses belles couleurs vives au niveau des ailes.
En plusieurs jours d'observations je n'est vu qu'un seul individus, très farouche, ils sont apparament difficile à approcher.
c'est une espèce omnivore qui vit préférentiellement dans les forêts de feuillus, mais aussi dans les parcs et jardin pourvu qu'il y est des arbres.
Ponte d'avril à juin
http://www.oiseaux.net/oiseaux/geai.des.chenes.html
Cette mésange se distingue de la mésange charbonnière par sa couronne bleue, sa ligne horizontale (du bec jusqu'à la nuque) et ses ailes bleues.
Tout comme sa compère, elle se place aux extrémités des branches du saule, pour y savourer les chatons au printemps, avec des mouvements de balanciers caractéristiques de l'espèce.
Avec les beaux jours qui ont précédés, de nombreuses mésanges charbonnière étaient de sortie ce jour là.
Cette petite mésange à la tête noire, les joues blanches et le ventre jaune, aime jouer les acrobates dans les branches du Saule marsault et se nourrir de ses chatons.
Pour ce qui voudrait en savoir plus sur cette espèce, voici un lien où vous trouverez une fiche biologique et pourrez écouter son chant
http://www.oiseaux.net/oiseaux/mesange.charbonniere.html
Au printemps, les chenilles en procession conduitent par une femelle, quittent l'arbre pour aller s'enfouir dans le sol à quelques centimètres sous terre dans un endroit bien ensoleillé.
Dans mon cas, je les ai trouvées à environt 15 mètres de l'arbre où il y avait le nid. Elles formaient un amas et bougeaient d'avant en arrière.
Chaque chenille va tisser un cocon individuel dans lequel aura lieu la transformation en chrysalide puis en papillon. Le développement s'interrompt alors pour une durée variable, lors d'une diapause, qui durera jusqu'à un mois avant la date favorable pour la sortie des adultes.
Le lendemain, je retourne voir ces fameuses chenilles et apparament, elles n'ont pas réussies à s'enterrer et sont toujours en surface. Mais ne bougent plus !! Je ne sais pas si elles sont mortes. Affaire à suivre !
Voici un nid de chenilles processionnaires
Elles construisent d'abord des premiers abris légers pouvant passer inaperçus. Une touffe d'aiguilles qui jaunit peut en être la principale manifestation. Dès que la zone autour de l'abri n'offre plus assez de nourriture, elles migrent plus haut dans l'arbre er reforment un nouveau nid. Durant les belles journées ensolleillées, on peut les voir en procession sur le tronc ou les branches de pin. Elles forment une colonie de plusieurs centaines de chenilles. A ce stade elles ne sont pas encore urticantes.
Au quatrième stade larvaire, elles forment un nid volumineux d'hiver, construit côté sud. Elles sortent la nuit pour se nourrir, se déplaçant en procession suivant un fil de soie. La cohésion est assurée par le contact de la tête d'une chenille avec les poils de l'abdomen de
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